D’après une loi délivrée, au Journal officiel, les chasseurs détenant un fusil à main, alors qu’ils sont sous l’emprise de l’alcool, sont actuellement condamnés à payer une contravention avec une somme de 1 500 euros. Si l’action se répète, l’amende peut atteindre 3 000 euros.
Pratiquer la chasse tout en étant ivre est désormais illégal. Que le chasseur se serve d’une arme à feu ou d’un arc, en état d’ivresse, il doit subir une contravention de 5e classe. L’amende varie de 1 500 à 3000 euros. L’État a déjà exposé un projet qui vise à sécuriser la chasse pour atteindre le but de « zéro accident », depuis le début de cette année. Pour atteindre cet objectif, il est interdit de pratiquer la chasse dans un état d’ivresse. Il a déjà informé, qu’il va créer une contravention pour condamner la chasse, tout en étant ivre. L’exécutif a également annoncé qu’un crime d’alcoolémie pour les chasseurs était en cours, pour changer la loi existante.
D’après l’OFB (Office français de la biodiversité), ça fait 20 ans que les nombres d’accidents de chasse, engendrant de morts et de blessés, ont diminué. Pendant la saison de la chasse 2022-2023, six personnes ont été retrouvées mortes, seulement des chasseurs. Ce chiffre est le plus bas dans l’histoire de la chasse. Le changement de la loi vise à pencher vers le zéro accident. En fait, trois non-chasseurs ont été retrouvés morts, pendant les deux saisons précédentes, ce qui a incité le gouvernement à interdire la chasse durant le week-end et la période de vacances.